Dans ma dernière ai examiné la montée en puissance du populisme dans les pays développés. L’apparition de ce qu’on a appelé la « nouvelle normale », caractérisée par une faible croissance du PIB et des revenus stagnants, a provoqué une condition économique dérangeante, tenace et durable, plutôt qu’un phénomène cyclique. J’ai fait valoir que les gouvernements doivent obtenir le consensus nécessaire pour mettre en place des politiques de croissance afin de mettre fin au malaise économique, en envisageant des baisses de taxes et d’impôts, une large réforme fiscale, des dépenses pour relancer l’économie, une déréglementation, tout en résistant à la tentation d’augmenter les dépenses des programmes sociaux et de recourir au protectionnisme. En cas d’échec, des pressions risquent de s’exercer sur les politiciens pour qu’ils adoptent des mesures encore plus radicales.
L’ACCVM a fourni les détails d’un programme de croissance pour stimuler les investissements, créer des emplois et ouvrir de nouvelles perspectives d’avenir. Cliquez ici pour lire ma dernière Lettre du président.