Au cours des trois dernières années, la valeur en dollars des financements estimés des petites entreprises cotées en bourse, tant sur les marchés privé que boursier, a chuté de moitié, pour atteindre un peu plus de 1 G$ par année. La vente des actions des petites entreprises non cotées en bourse sur les marchés du capital de risque a augmenté régulièrement au cours de ces trois dernières années, cependant la valeur moyenne annuelle est encore d’un peu plus de 2 G$. Les fonds de capital de risque canadiens sont une source importante, quoique relativement modeste, de capitaux propres pour les petites entreprises avec des financements de l’ordre de 1 G$ par année, ce qui est légèrement inférieur à l’apport des fonds de capital de risque américains sur le marché canadien.
Pour que l’économie canadienne puisse croître et créer des emplois, il faut que les petites et moyennes entreprises (PME) mobilisent les capitaux propres dont elles ont besoin pour profiter des occasions d’affaires dès qu’elles se présentent.
Dans un article paru dans Options politiques, la publication phare de l’Institut de recherche en politiques publiques (IRPP), j’ai exposé les recommandations de l’ACCVM pour aider les PME à mobiliser des capitaux propres.
Vous pouvez lire l’article (en anglais) en cliquant ici.