C’est l’opinion de James Langton du journal Investment Executive :
L’Association canadienne du commerce des valeurs mobilières (ACCVM) montre la voie en mettant en place une série de comités pour composer avec la myriade de détails qu’il faut trier pour permettre aux courtiers en valeurs mobilières de se conformer aux exigences du MRCC 2.
La question primordiale concernant la mise en œuvre demeure toujours de savoir si les ACVM permettront aux courtiers membres de l’OCRCVM de ne pas se conformer aux deux versions des mêmes exigences, celle des commissions provinciales de valeurs mobilières et celle de l’OCRCVM. Depuis le début, les … Lire la suite